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Inspecteur principal Jean Luc Robin |
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Am 19. Oktober verunglückte eine Gruppe belgischer Fallschirmsportler, als eine Tragfläche ihres Flugzeugs kurz nach dem Start abbrach. Die Maschine stürzte auf ein freies Feld bei der Ortschaft Gelbresse, nicht weit von Namur. Alle Insassen, darunter die Polizeibeamten Jean Luc Robin und Francois Lemoine, kamen bei dem Absturz ums Leben. Jean Luc hatte seine Laufbahn bei der belgischen Gendarmerie begonnen; bei der Neuorganisation in den Neunzigerjahren wechselte er zur Police Locale und arbeitete im "Interventiedienst/service de l’intervention". Jean Luc, der nicht nur passionierter Fallschirmspringer war, sondern auch begeisterter Radsportler, hinterlässt drei fast erwachsene Kinder. ****************************************************************** L’allure athlétique, le petit sourire souvent en coin, Jean-Luc Robin était une silhouette bien connue autant chez les parachutistes que les cyclistes ou encore les forces de police de la région gembloutoise. L’homme était à bord du Pilatus lors du funeste vol. «Il était du genre à regarder le ciel le matin pour savoir s’il allait pouvoir sauter ou non», explique l’un de ses collègues de la zone Orneau Mehaigne. Cet habitant de Villers-lez-Heest (La Bruyère, au nord de Namur) était le papa de trois grands enfants. L’un de ses fils, militaire, était actuellement en manœuvre en Allemagne. «Lui aussi a passé ses épreuves pour rejoindre la police», explique un policier gembloutois. Une vocation qui s’est transmise de père en fils. Car le paternel avait la passion de son métier. «Un type impeccable, correct, sur qui on pouvait réellement compter», explique le commissaire Didier Metens. «Il était aussi très attentif à la bonne tenue. À la fois dans l’attitude mais aussi dans le port vestimentaire.» Un gentleman dans le fond et dans la forme. Passionné de cyclisme, Jean-Luc Robin s’était aussi impliqué dans ce milieu, donnant notamment un coup de main dans la logistique du Tour de Namur. Ancien gendarme, il occupait le poste de second à la brigade d’Éghezée. À la réforme, il a intégré la police locale de la zone Orneau-Mehaigne. Inspecteur principal, il a toujours travaillé dans le délicat et bouillonnant service de l’intervention. Pas de routine, de l’action. «C’était aussi un homme qui avait réellement le sens du collectif», souligne Claude Bottamedi, le chef de zone. «Récemment encore, alors que les rôles se répartissaient notamment pour les gardes des réveillons, il s’était porté volontaire. Il m’a dit qu’il en avait discuté avec son épouse. Et que, quelque part, il travaillerait le soir d’un réveillon… pour que les jeunes aient aussi l’occasion de faire la fête.» Un policier gentleman.
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Quellen: http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20131021_00378083 |
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